Pour la confirmation des N2 2011, j'ai dans un premier temps souhaité un CR rédigé par l'un des nouveaux promus, comme c'est la tradition, mais puisque j'ai eu la chance d'être présent (et sans ma binomette et modèle préféré, pour une fois), j'ai pu faire mieux connaissance avec les impétrants. Alors c'est votre webmaster qui s'y colle.
Sous la houlette de Sylvain et de Laurent, avec l'aide des autres encadrants (Didou, Régis, Lionel, Thierry, Monsieur Le Président le leader Maximino), il s'agissait de confirmer le groupe avant la remise des diplômes par l'ultime épreuve : "la quarante". Dans le même temps Jeff assurait la confirmation au N3 de Eric, suite à de nombreuses brimades : stab autodégonflante, masque voltigeur et autres amusements habituels de notre président de la commission technique.
La première plongée sur l'Astrée s'est déroulée avec une visi remarquable,
alors que la seconde plongée sur épaves, le Saumur, le dimanche, s'est faite avec une visi plus... conceptuelle.
En dehors du fait que le groupe N2, s'est avéré sympathique et compétant, il a entamé une révolution culturelle étonnante au CASA qui marquera à jamais les annales. En effet, il a été vu au grand complet autour d'une table sans qu'aucune bouteille de Banyuls (ni autres breuvages riches en éthanol) ne soit présente.
Après la remise des diplômes, ces plongeurs exemplaires se sont retrouvés à la Casa Pepe pour une plongée de nuit afin d'inaugurer leur première expérience en autonomie. Pendant ce temps les anciens du Casa, les vieux barbons, dont je fais dorénavant partie, sont restés au mobile home pour leurs libations habituelles.
Là, la bonne tenue des participants qui avait prévalu jusque-là est rapidement partie en quenouille. La morale et la visibilité publique de cette page font que je ne peux rien dire (même sous la torture) des agissements de Régis avec quelques camarades. Nous pourrons juste constater que les tabous tombent les uns après les autres au Casa.
Didier, alias Ipodman, nous a concocté une petite sélection musicale avec les chants folkloriques de son époque : Supertramp, Trust, Cat Stevens... Nous avons braillé du Maxime le Forestier, du Au Bonheur des Dames, du Rolling-Stones, le restant de la soirée.
Pour ne rien vous cacher, il s'est même accordé une remonté de nostalgie jusqu'aux Poppies.
Les plongées sur Sainte Catherine, puis pour les plus courageux (dont je n'ai pas fait partie) sur Cap l'Abeille dimanche après midi ont été riches en langoustes et nudibranches (nos vieux du CASA disent "tes petits vers de m...").
Quel week-end !
Non, non rien n'a changé, tout, tout va continuer, ohé, ohééééé...